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Les EBE dans L’Histoire

mercredi 27 octobre 2010, par syagrius

EBE= Entité Biologique Extraterrestre

Il est vrai l’antiquité, les mythes nous apprennent quantité de faits étranges, et si dans un passé lointain, il y avait eu un hypothétique contact voire influence sur la civilisation. Et parallèlement il y aurait notre inconscient collectif su cher à Jung qui ferait en sorte de tendre à un retour. Pourquoi alors, peut être que ses véritables EBE ont joué une place prépondérante à une époque et ont imprégné l’humanité à un très haut point. Alors pourquoi serait il partis ?

Les Sumériens

Un mythe plaide en faveur de contact avec EBE sur le rivage du golfe persique non loin de la cité sumérien d’Eridou lors du 4e millénaire. Cette légende est celle remontant à Berousus prêtre du dieu babylonien Baab-Marduk qui vécut à l’époque d’Alexandre le grand au 4e . il avait eu connaissance de pictogramme dont un Alexandre Polyhistor raconte l’arrivée d’un animal doué de raison appelé Oannès une queue de poisson et des pieds d’hommes. amenant l’écriture, archi ; il est amphibie et se retire le soir dans la mer.

La Grèce

Un autre chroniqueur grec Abydène disciple d’Aristote évoque les rois sumériens sans oublier un semi démon ressemblant à Oannès qui surgit de l’eau ainsi que "a personnages à double face" moitié homme moitié poisson. Enfin Apollore d’Athènes rappelle que son le règne d’Ammenon "musarus oannes, l’Annedote apparaît sur les rivages de Chaldée", suivi, quelques temps d’un second annedote. On assistera à une scène analogue au temps du roi Eudoreschus, c’est alors un homme poisson du nom d’odacon qui se mêle à la population.

Musarus en grec ancien = abominable et annedotus = répugnant

Afrique

D’ailleurs une légende chez les Dogons, flanque à Sirius une compagne invisible po tolo (étoile grain) dont la matière est infiniment dense, en 50 ans une orbite elliptique. Pour eux la lune est morte et sèche et que saturne est entouré d’anneaux invisible à l’œil nu. Les Dogons vénèrent Nommo un autre dieu poisson.

Amérique du Sud

Or dans les ruines de Tianhuanaco près du lac Titicaca, dans les Andes sur l’esplanade de Kalasaiya aurait été daté par Arthur Posnansky un historien péruvien a la fin du 19e siècle, selon les dispositions des temples par rapport aux étoiles que la ville a été construite vers 15 000 . cette thèse est reprise par 2 astronomes allemands dans les années 20 qui pour eux le fait que les 2 observatoires érigés sur le Kalasasiya indiquent les solstices d’été et d’hiver et donc 15000 ans. D’ailleurs il existe dans un temple une statue d’un dieu poisson doté d’yeux globuleux recouvert d’écaille.

Australie

D’autre région du globe montre des signes semblables intégrés au folklore. En Australie, à quelques kilomètres de Sydney. Dans une tribu aborigène, des danses et des peintures rupestres retracent la venue d’une divinité. Elles évoquent la venue d’une déesse de la voie lactée. Ces peintures rupestres, une fois analysées, signifient : "La déesse arriva de l’univers dans un vaisseau brillant, prodigua ses conseils et son aide et s’en retourna vers les étoiles". Cette déesse apporta aussi un objet qui n’existe nulle part ailleurs dans le monde : le boomerang. Rien dans la nature ne correspond à sa forme aérodynamique ; la finesse de sa forme tend à prouver qu’il n’a pu être inventé par hasard, mais qu’il a fallu des connaissances aérodynamiques précises permettant sa mise au point. Pour une ethnie primitive, comment créer une arme de chasse qui, une fois lancée, revienne d’elle-même à son point de départ si elle vient à manquer son but ? Aujourd’hui, les pales d’hélicoptères sont fabriquées selon les mêmes lois de finesse aérodynamique.

D’étranges propos

Et ce n’est pas tout, on trouve sur le globe des propos étranges :

**Les Kayapos

Loin du berceau de l’humanité, en Amazonie, les dieux vivaient aussi parmi les hommes. Au coeur de la forêt sauvage, les Kayapos, une tribu qui vit encore aujourd’hui comme il y a des milliers d’années, racontent que, dans les temps reculés, un visiteur venu du ciel à bord d’un véhicule brillant a vécu longtemps chez eux.Il créa la première école. Il leur enseigna l’agriculture et de nouvelles techniques pour fabriquer entre autre des armes de chasse. Son nom " BEP COROROTI " signifie " JE SUIS VENU DE L’UNIVERS ".Il les quitta un jour et repartit vers les étoiles sur son véhicule dans un bruit de tonnerre. Aujourd’hui cette tribu attend son retour comme promis par le visiteur de l’espace.

**Les Hopies

Dans la tradition oral des Hopies (au coeur de l’Arizona) il dit qu’autrefois il voyageait d’île en île puis un jour ils rencontrèrent d’étranges créatures leur fournissant outils,... or ses visiteurs etaient différents des humains et utilisaient une magie plus puissante que la foudre

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Verden er underligt, synes du ikke ?

3 Messages de forum

  • Les EBE dans L’Histoire 27 octobre 2010 21:03, par Logo

    cela fait penser aux Profonds chez Lovecraft

    Répondre à ce message

  • Sirius et les Dogons 31 octobre 2010 11:44, par Neimad

    L’information su les Dogons provient des travaux des ethnologues Marcel Griaule et de Germaine Dieterlen sur ce peuple du Mali entre 1948 (cf. Le Dieu d’Eau) et 1965 (cf. Le renard pâle).

    Marcel Griaule explique avoir été initié pendant 33 jours par le chef religieux des Dogons, Ogotommêli, un vieux chasseur aveugle. La mythologie qui entoure l’étoile Sirius (Sigi tolo) fait état de deux compagnons invisibles :

    - Sirius B (Po tolo)
    - Sirius C (Emme ya tolo)

    Un dessin représente Po tolo dans deux positions différentes par rapport à Sigi Tolo. Ce n’est qu’un 1862 que l’on finit par découvrir cette étoile, invisible à l’oeil nu, qui gravite effectivement autour de l’étoile principale. Ogotommêli précise que Po tolo est si lourde que « tous les êtres terrestres réunis ne pourraient en soulever une parcelle ». Cela décrit bien la réalité, puisque Sirius B est une naine blanche.

    Sirius C n’a pas encore été découverte.

    Les critiques sont les suivantes (voir http://www.astrosurf.com/luxorion/dogons-astronomie3.htm) :

    - le journaliste Peter James et l’archéologue Nick Thorpe n’ont pas trouvé trace de cette connaissance chez les Dogons que n’avaient pas rencontré Marcel Griaule
    - Marcel Griaule aurait "contaminé" les Dogons avec ses connaissances en astronomie (Il avait préparé le concours de l’École polytechnique en mathématiques spéciales avant de se tourner vers l’ethnologie) ou surinterprété les propos d’Ogotommêli

    Cela me semble exagéré. Marcel Griaule avait déjà atteint la célébrité en découvrant les Dogons. Quel besoin aurait-il eu d’ajouter une cosmologie fantaisiste ? Cela aurait d’ailleurs pu le décrédibiliser auprès de ses collègues.

    Ses travaux ne sont pas des articles à sensation mais des études scientifiques. Il étudiait les Dogons depuis 1935, publia sa thèse de doctorat sur eux en 1938 et ne publia ses entretiens avec Ogotommêli qu’en 1948 après été initié.

    Par ailleurs, Marcel Griaule est ethnologue réputé. Il a notamment été secrétaire général de l’Institut d’Ethnologie à l’Université de Paris, sous-directeur du Musée de l’Homme, directeur de laboratoire d’ethnologie de l’EPHE.

    Peter James et Nick Thorpe n’ont pas trouvé ces connaissances chez tous les Dogons ? Tous les Dogons sont-ils initiés et ont-ils été initiés eux-mêmes ? Si ce n’est pas le cas, il n’est pas surprenant que les Dogons - ou que certains Dogons intiés - aient gardé l’information pour eux.

    Malgré cela, l’on saura vraiment si Marcel Griaule s’est trompé ou non le jour où les astrophysiciens seront en mesure de confirmer ou d’infirmer l’existence d’une troisième étoile dans le système solaire de Sirus...

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